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Fait
marquants de mardi, 12 septembre
L'Organe Subsidiaire
de Mise en OEuvre (SBI) s'est réuni, le matin, pour procéder à l'examen
du lieu éventuel de la CdP- 7, des questions administratives et
financières, des communications des pays visés et de ceux non visés
à l'Annexe I, et du mécanisme de financement. Des réunions officieuses
ont été tenues pour débattre des activités du FEM et des directives
additionnelles devant lui être fournies, en tant que mécanisme de
financement. Des groupes de contact ont été convoqués autour des
thèmes: de politiques et mesures; de respect des obligations; des
mécanismes; du transfert des technologies; des effets adverses;
de l'utilisation des sols, modifications intervenues dans l'utilisation
des sols et foresterie (LULUCF); et des lignes directrices en vertu
des Articles 5 (questions méthodologiques), 7 (communication des
informations) et 8 (revue des informations) du Protocole. Ci-dessus:
Michael Zammit Cutajar, Secrétaire Exécutif de la CCCC (gauche);
et Mohamed El-Ashry, Président Directeur Général du FEM. RealAudio
disponible plus bas sur cette page.
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Session
de questions et reponses avec le FEM
Droite:
Mohammed El-Ashry, Président Directeur Général du FEM, et Avani
Vaish, Manager du Programme de renforcement des capacités du FEM.
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Enregistrement RealAudio des remarques introductives et de la
mise à jour concernant les activités du FEM présentées par El
-Ashry:
1ère
Partie 2ème
Partie
(Voir
ci-dessous pour d'autres extraits de l'intervention d'El-Ashry)
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La
représentante des Philippines a souligné que les besoins en matière
de renforcement des capacités avaient déjà été identifiés dans le
passé, et a fait part de ses craintes de voir le processus consultatif
de 2 ans du FEM constituer une duplication des efforts précédents.
L'oratrice a rappelé à El-Ashry que l'Article 4.5 de la Convention
porte sur un engagement des pays industrialisés à ouvrir l'accès
aux technologies écologiquement rationnelles, et a appelé le FEM
à aider à assurer le flux de ces technologies vers les pays en développement.
La représentante devait conclure en demandant "qui va renforcer
les capacités de ceux qui seront chargés de renforcer les capacités?"
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Au
sujet des questions posees par les PAYS-BAS à savoir si le FEM projetait
de reconsidérer son actuelle focalisation sur les projets d'atténuation
en faveur d'autres domaines tel que celui de l'adaptation, une fois
le MDP introduit, El-Ashry nota la limite des directives fournies
par la CdP au sujet des activités ayant trait à l'adaptation, ajoutant
que les détails spécifiques du MDP attendaient encore d'être décidés.
Il assura néanmoins les Parties que le FEM veillait à éviter toute
duplication.
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Répondant
aux commentaires introduits par le KENYA (gauche) sur les
difficultés rencontrées dans les rapports avec les agences d'exécution,
El-Ashry affirma que le FEM était en train de travailler à l'amélioration
des capacités de réponse des agences d'exécution. En reponse
a la LIBYE, El-Ashry indiqua que les Parties se devaient de communiquer
leurs préoccupations de manière à permettre la résolution des problèmes.
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Les
participants procédèrent à l'examen du rapport concernant les données
figurant dans les inventaires nationaux de gaz à effet de serre soumis
par les Parties visées à l'Annexe I Parties au titre de la période
1990-1998. La France, au mon de l''UE fit part de sa satisfaction
quant au nombre de Parties visées à l'Annexe I utilisant le nouveau
format de rapport. Le représentant nota avec préoccupation l'accroissement
continu des émissions dans certains pays. |
L'ARGENTINE
nota les mesures probantes entreprises par le ROYAUME-UNI et par
l'ALLEMAGNE en vue de réduire les émissions et souligna l'accroissement
continu enregistré dans les taux d'émission des ETATS. L'orateur
déclara que les engagements des pays visés à l'Annexe I doivent
être honorés.
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La déléguée
des PHILIPPINES déclara qu'il y avait eu un gaspillage des
ressources en rapport avec le GEC, et appela à une revue de ses
termes de référence.
L'URUGUAY
remercia le FEM pour son assistance.
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La CHINE
encouragea les pays visés à l'Annexe II à fournir au Groupe Consultatif
d'Expert un soutien financier adéquat
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