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Treizième session des Organes Subsidiaires du CCCC
Lyon, France; 4 - 15 septembre 2000

 
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Fait marquants de mardi, 12 septembre
L'Organe Subsidiaire de Mise en OEuvre (SBI) s'est réuni, le matin, pour procéder à l'examen du lieu éventuel de la CdP- 7, des questions administratives et financières, des communications des pays visés et de ceux non visés à l'Annexe I, et du mécanisme de financement. Des réunions officieuses ont été tenues pour débattre des activités du FEM et des directives additionnelles devant lui être fournies, en tant que mécanisme de financement. Des groupes de contact ont été convoqués autour des thèmes: de politiques et mesures; de respect des obligations; des mécanismes; du transfert des technologies; des effets adverses; de l'utilisation des sols, modifications intervenues dans l'utilisation des sols et foresterie (LULUCF); et des lignes directrices en vertu des Articles 5 (questions méthodologiques), 7 (communication des informations) et 8 (revue des informations) du Protocole. Ci-dessus: Michael Zammit Cutajar, Secrétaire Exécutif de la CCCC (gauche); et Mohamed El-Ashry, Président Directeur Général du FEM. RealAudio disponible plus bas sur cette page.


Session de questions et reponses avec le FEM

Droite: Mohammed El-Ashry, Président Directeur Général du FEM, et Avani Vaish, Manager du Programme de renforcement des capacités du FEM.

Enregistrement RealAudio des remarques introductives et de la mise à jour concernant les activités du FEM présentées par El -Ashry:
1ère Partie   2ème Partie

(Voir ci-dessous pour d'autres extraits de l'intervention d'El-Ashry)


La représentante des Philippines a souligné que les besoins en matière de renforcement des capacités avaient déjà été identifiés dans le passé, et a fait part de ses craintes de voir le processus consultatif de 2 ans du FEM constituer une duplication des efforts précédents. L'oratrice a rappelé à El-Ashry que l'Article 4.5 de la Convention porte sur un engagement des pays industrialisés à ouvrir l'accès aux technologies écologiquement rationnelles, et a appelé le FEM à aider à assurer le flux de ces technologies vers les pays en développement. La représentante devait conclure en demandant "qui va renforcer les capacités de ceux qui seront chargés de renforcer les capacités?"

Au sujet des questions posees par les PAYS-BAS à savoir si le FEM projetait de reconsidérer son actuelle focalisation sur les projets d'atténuation en faveur d'autres domaines tel que celui de l'adaptation, une fois le MDP introduit, El-Ashry nota la limite des directives fournies par la CdP au sujet des activités ayant trait à l'adaptation, ajoutant que les détails spécifiques du MDP attendaient encore d'être décidés. Il assura néanmoins les Parties que le FEM veillait à éviter toute duplication.

Répondant aux commentaires introduits par le KENYA (gauche) sur les difficultés rencontrées dans les rapports avec les agences d'exécution, El-Ashry affirma que le FEM était en train de travailler à l'amélioration des capacités de réponse des agences d'exécution. En reponse a la LIBYE, El-Ashry indiqua que les Parties se devaient de communiquer leurs préoccupations de manière à permettre la résolution des problèmes.


Rencontre du SBI
Les participants procédèrent à l'examen du rapport concernant les données figurant dans les inventaires nationaux de gaz à effet de serre soumis par les Parties visées à l'Annexe I Parties au titre de la période 1990-1998. La France, au mon de l''UE fit part de sa satisfaction quant au nombre de Parties visées à l'Annexe I utilisant le nouveau format de rapport. Le représentant nota avec préoccupation l'accroissement continu des émissions dans certains pays.
L'ARGENTINE nota les mesures probantes entreprises par le ROYAUME-UNI et par l'ALLEMAGNE en vue de réduire les émissions et souligna l'accroissement continu enregistré dans les taux d'émission des ETATS. L'orateur déclara que les engagements des pays visés à l'Annexe I doivent être honorés.

La déléguée des PHILIPPINES déclara qu'il y avait eu un gaspillage des ressources en rapport avec le GEC, et appela à une revue de ses termes de référence.

L'URUGUAY remercia le FEM pour son assistance.

La CHINE encouragea les pays visés à l'Annexe II à fournir au Groupe Consultatif d'Expert un soutien financier adéquat


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