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Mise a jour du mardi
16 février à
la mi-journée: En matinée, les délégués devaient tenir des séances
du Sous-groupe de Travail I (SGT-I) et du Sous-groupe de Travail II
(SGT-II) et poursuivre leurs discussions au sein des groupes de contact
et des comités officieux. Le SGT-I a entendu les rapports du groupe chargé du thème de la gestion des risques et procéda à l'approfondissement du débat autour de ce sujet. Il devait établir un groupe de contact pour débattre de la question de l'utilisation confinée. De son côté, Le SGT-II a entendu le rapport du groupe de contact chargé d'examiner le thème de la création des capacités qui n'a enregistré aucune avancée notable. Le groupe de contact chargé de la discussion des questions touchant au commerce a rapporté, pour sa part, que ses discussions ont permis de clarifier les différentes positions quant à l'opportunité d'inclure une clause interdisant le commerce avec les parties non-signataires et de dégager les conflits éventuels que cela pourrait introduire avec les accords de l'OMC. Le Groupe de Contact I (GC-I) a poursuivi son débat sur les définitions et sur le Préambule. Penchée sur le chapitre responsabilité et réparation, la Sous-commission du Groupe de Contact II (GC-II) a tenu un débat autour d'un papier officieux émanant du Président susceptible de servir de base à l'élaboration de l'article consacré à ce sujet dans le protocole. Des réserves ont été émises par certains participants qui ont trouvé que le libellé n'allait pas assez loin dans l'affirmation du travail futur. Recap du lundi: Si plusieurs délégués ont suivi le conseil du Ministre Colombien de l'Environnement de relâcher le nud de leur cravate, la plupart d'entre eux sont allés un peu plus loin et ont retroussé leurs manches pour mieux s'attaquer aux choses sérieuses. Comme la date butoir du mercredi fixé par le Président Koester continue à s'approcher, plus de neuf groupes de contact, ainsi que des sous-commissions, des groupes régionaux et autres comités officieux ont été réuni en continu, certains travaillant jusqu'à une heure tardive de la nuit. Mais en dépit de cet effort, les délégués on n'a pas encore enregistré de percée majeure dans les points de désaccord polarisés depuis longtemps. Des voix se sont laissés entendre réitérant leur préférence pour plutôt une situation sans protocole qu'une situation avec un mauvais protocole. D'autres ont rappelé toutefois que dans les négations, les positions évoluent, en particulier, quand il s'agit d'accords juridiques contraignants, tout arrive souvent le dernier quart d'heure. Certains croit savoir que la réunion du comité des Amis du Président tenue dans la soirée ne manquera pas d'impulser les efforts de parvenir à un accord. |
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S'agissant de la question de "l'utilisation en milieu confiné", certaines délégations déclarèrent que les OVM destinés à une utilisation en milieu confiné doivent être assujettis au mêmes dispositions que les autres OVM. D'autres insistèrent que des dispositions différentes devaient être appliquées à ces OVM, et en particulier, leurs mouvements transfrontières ne doivent pas être couverts par des procédures AIA. Une délégation déclara que les OVM destinés à une utilisation en milieu confiné devraient être exclus du protocole. Le Coprésident Wint (Jamaïque) chargea un comité officieux, coprésidé par l'Australie (ci-contre) et le Pérou, de poursuivre les discussions. Les Coprésidents du comité officieux firent distribuer au SGT-I, une note résumant le résultat des discussions.s |
Conference de presse
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